Pour moi, il est clair aujourd’hui que, dans n’importe quelle discussion (surtout à propos du social et du politique, mais aussi de valeurs, d’art, de culture, de religion, de mode de vie, de passion…), la seule question déterminante est de savoir si ce que l’on affirme et assume suppose le consentement au monde présent ou le désir et le projet de le transformer. Je dis pour moi, mais, en réalité, nous sommes tous engagés dans une situation objective. L’hypothèque de la chute du mur de Berlin se démonétise rapidement. Qu’on le veuille ou non, par conséquent, toute parole, toute pensée, toute idée ne prend à nouveau son sens et ne sera jugée qu’en rapport à la réponse donnée à la question de l’attitude devant ce monde.
L’image ci-dessus est extraite du blog : http://pyxurz.blogspot.jp/